#+title: Analyse 1 #+AUTHOR: Crystal #+OPTIONS: ^:{} #+OPTIONS: num:nil #+EXPORT_FILE_NAME: ../../../uni_notes/analyse.html #+HTML_HEAD: #+HTML_HEAD: #+HTML_LINK_HOME: https://crystal.tilde.institute/ #+HTML_LINK_UP: ../../../uni_notes/ #+OPTIONS: html-style:nil #+OPTIONS: toc:4 #+HTML_HEAD: #+OPTIONS: \n:y * Contenu de la Matiére ** Chapitre 1 : Quelque propriétés de ℝ - Structure algébrique de ℝ - L'ordre dans ℝ - Majorant, minorant, borne superieure, borne inférieure ** Chapitre 2 : Les suites numériques réelles - Définition : convergence, opérations sur les suites convergentes - Theoréme de convergence, Theoréme de ___ suites, sans suites, extension au limites infinies - Suites de cauchy, suites adjacentes et suites récurentes ** Chapitre 3 : Limites et continuité des fonctions réelles d'une variable réelle - Les limites : définition, opérations sur les limites, les formes inditerminées - La continuité : définition, Theorémes fondamentaux - La continuité informe les fonctions Lepchitziennes ** Chapitre 4 : La dérivabilité et son interprétation géometrique - Opérations sur les fonctions dérivales, Theoréme de Rolle, Theoréme des accroissements finis, régle de L'Hopital et formule de Taylor ** Chapitre 5 : Les fonctions trigonométriques réciproques, fonctions hypérboliques réciproques - Comparaison asymptotique - Symbole de lamdau (lambda ?), et notions des fonctions équivalentes - Développements limites polynominaux (D.L) et opérations sur les D.L - Généralisations des D.L - Application au calcul de limite et l'étude des branches infinies * Premier cours : Quelque propriétés de ℝ /Sep 26/ : ** La loi de composition interne dans E : @ : E x E ---> E (x,y) ---> x @ y @ est une lois de composition interne seulement si : *∀ x,y ε E* *** *Example : Addition* Est ce que l'addition (+) est L.C.I dans ℕ ? ℕ x ℕ ---> ℕ (x,y) ---> x + y ? /En gros : Pour que l'addition soit une L.C.I dans ℕ, il faut que: quand on additionne *n'importe quel* chiffre x et y de N, il faut que le résultat appertiens aussi a ℕ/ ∀ x,y ∈ ℕ , x + y ∈ ℕ /En gros: Pour TOUTE valeur de x et y appartenant a ℕ, leur somme est toujours dans ℕ/ Donc : + est L.C.I dans ℕ *** *Example : soustraction* Est ce que la soustraction (-) est L.C.I dans ℕ? ℕ x ℕ ---> ℕ (x,y) ---> x - y ? ∃ x , y ∈ ℕ , x - y ∉ ℕ /En gros: il existe au moins une valeur de x et y dans ℕ tel que leur différence n'est *PAS* dans ℕ . tel que : si x est 5, et y c'est 9. Leur différence est -4, qui appartiens pas a ℕ/ ** La loi de composition externe dans E : @ est L.C.E dans E, K est un corps K x E ---> E (a,x) ---> a @ x ∀ (a , x) ∈ K x E , a @ x ∈ E ** Groupes : /Soit E un ensemble, soit @ une L.C.I dans E/ (E, @) est un groupe Si : *** Il contiens un élement neutre ∀ x ∈ E ; ∃ e ∈ E x @ e = e @ x = x On appelle *e* élement neutre /Ex: (ℕ,+) accepte un élement neutre, qui est 0, parceque x + 0 = 0 + x = x....cependent (ℕ,+) n'est pas un groupe. La raison est dans la prochaine condition/ *** Il contiens un élément symétrique ∀ x ∈ E ; ∃ x' ∈ E ; x @ x' = x' @ x = e On appelle *x'* élèment symétrique /Dans l'example en haut, on remarque qu'il n'y ya pas de chiffre x' pour chaque chiffre x, qui est, l'hors de leur addition est egal a e (0), tout simplement car:/ /x + x' = e ; x + x' = 0 ; x = -x'/ *Or, Dans ℕ, on a pas de nombres négatifs* *** @ est cummutative : ∀ (x , x') ∈ E x E ; x @ x' = x' @ x /L'addition est cummutative, la soustraction ne l'es pas. 5 + 3 ou 3 + 5 est pareil, mais 5 - 3 et 3 - 5 sont différents/ ** Anneaux : Soit E un ensemble, (E , @ , !) est un anneau si : *** (E ; @) est un groupe cummutatif *** ! est une loi associative : ∀ x , y , z ∈ E (x ! y) ! z = x ! (y ! z) *** Distribution de ! par rapport à @ : ∀ x , y , z ∈ E (x @ y) ! z = ( x ! z ) @ ( y ! z ) *** L'existance d'un élèment neutre de ! : ∀ x ∈ E , ∃ e ∈ E , x ! e = e ! x = x *** ! est cummutative : ∀ x , y ∈ E , x ! y = y ! x ** Corps : (E , @ , !) est un corps si les 5 conditions en haut sont vérifiées + cette condition : *** La symétrie : ∀ x ∈ E ; ∃ x' ∈ E , x ! x' = x' ! x = e x' est l'élément symétrique de x par rapport à ! (sauf élément neutre première lois ) ** Exercice : (ℝ, +, x) corps ou pas ? *** Est-ce un Anneau ? - (ℝ, +) est un groupe commutatif - x est une loi associative : (a x b) x c = a x (b x c) - On peut distribuer x par rapport a + : (a + b) x c = (a x c) + (b x c) - Il existe un élément neutre de x which is 1 : a x 1 = 1 x a = a - La multiplication est commutative : a x b = b x a Oui c'est un anneau *** Est-ce un corps ? - Oui : ∀ x ∈ ℝ\{e} ; x * x' = 1 * 2nd cours :L'ordre dans ℝ, Majorant, minorant, borne superieure, borne inférieure /Oct 3/ : ** L'ordre dans ℝ (ℝ, +, x) est un corps, Soit R une relation d'ordre dans ℝ si : 1. R est antisymétrique : ∀ x, y ℝ ; (x R y et y R x) ⇒ (x = y) 2. R est reflexive : ∀ x ∈ ℝ ; x R x 3. R est transitive : ∀ x, y, z ∈ ℝ , (x R y and y R z) ⇒ x R z *** Exemples : **** Exemple numéro 1: (ℝ , +, x) est un corps. Est ce la relation < est une relation d'ordre dans ℝ ? Non, pourquoi ? parce que elle est pas réflexive : ∀ x ∈ ℝ, x < x **is obviously false** **** Exemple numéro 2: (ℝ , +, x) est un corps. Est ce la relation ≥ est une relation d'ordre dans ℝ ? 1. (Antisymétrique) ∀ x, y ℝ ; (x ≥ y AND y ≥ x) ⇒ x = y is true 2. (Réflexive) ∀ x, y ℝ ; x ≥ x is true 3. (Transitive) ∀ x, y, z ℝ ; (x ≥ y AND y ≥ z) ⇒ x ≥ z is also true ** Majorant, minorant, borne supérieure, borne inférieure *** Majorant: Soit E un sous-ensemble de ℝ (E ⊆ ℝ) Soit a ∈ ℝ, a est un majorant de E Si :∀ x ∈ E , x ≤ a *** Minorant: Soit E un sous-ensemble de ℝ (E ⊆ ℝ) Soit b ∈ ℝ, b est un minorant de E Si :∀ x ∈ E , x ≥ b *** Borne supérieure: La borne supérieure est le plus petit des majorants /Sup(E) = Borne supérieure/ *** Borne inférieure: La borne inférieure est le plus grand des minorant /Inf (E) = Borne inférieure/ *** Maximum : E ⊆ ℝ, a est un maximum de E (Max(E)) Si : a ∈ E ; ∀x ∈ E, x ≤ a. *** Minimum : E ⊆ ℝ, b est un minimum de E (Min(E)) Si : b ∈ E ; ∀x ∈ E, x ≥ b. *** Remarques : A et B deux ensembles bornés (Minoré et Majoré) : 1. A ∪ B est borné 2. A ∩ B est borné 3. Sup(A ∪ B)= Max(sup A, sup B) 4. Inf (A ∩ B)= Min(inf A, inf B) 5. Sup(A ∩ B)= Min(sup A, sup B) /Le plus petit des Supérieur de A et B/ 6. Inf (A ∩ B)= Max(inf A, inf B) /Le plus grand des inférieur de A et B/ * 3rd cours :Les suites numériques /Oct 5/ : *** Définition : Soit (Un)n ∈ ℕ une suite numérique , (Un)n est une application de ℕ dans ℝ: ℕ ----> ℝ n ----> U(n) = Un 1. (Un) ou (Un)n ∈ ℝ : une suite 2. Un : terme général ***** Exemple : U : ℕ* ----> ℝ n ----> 1/n (Un) est une suite définit par Un = 1/n *** Définition N°2 : On peut définir une suite â partir d'une relation de récurrence entre deux termes successifs et le premier terme. ***** Exemple : U(n+1) = Un /2 U(1)= 1 ** Opérations sur les suites : *** La somme : Soient (Un) et (Vn) deux suites, la somme de (Un) et (Vn) est une suite de terme général Un + Vn *** Le produit : Soient (Un)n et (Vn)n deux suites alors (Un) x (Vn) est une autre suite de terme général Un x Vn *** Inverse d'une suite : Soit Un une suite de terme général Un alors l'inverse de (Un) est une autre suite (Vn) = 1/(Un) de terme général de Vn = 1/Un *** Produit d'une suite par un scalaire : Soit (Un) une suite de T.G Un ∀ λ ∈ ℝ , λ(Un) n ∈ ℕ est une suite de T.G Vn= λUn ** Suite bornée : Une suite (Un) est bornée si (Un) majorée et minorée ** Suite majorée : Soit (Un) une suite U : (Un) est majorée par M ∈ ℝ ; ∀ n ∈ ℕ ; ∃ M ∈ ℝ , Un ≤ M ** Suite minorée : Soit (Un) une suite U : (Un) est minorée par M ∈ ℝ ; ∀ n ∈ ℕ ; ∃ M ∈ ℝ , Un ≥ M ** Suites monotones : *** Les suites croissantes : Soit (Un)n est une suite (Un) est croissante si : ∀ n ∈ ℕ ; U(n+1) - Un ≥ 0 ⇔ Un+1 ≥ Un *** Les suites décroissantes : Soit (Un)n est une suite (Un) est décroissante si : ∀ n ∈ ℕ ; U(n+1) - Un ≤ 0 ⇔ Un+1 ≤ Un * Série TD N°1 : /Oct 6/ ** Exo 1 : *** Ensemble A : A = {-1/n , n ∈ ℕ *} **** Borne inférieure ∀ n ∈ ℕ* , -1/n ≥ -1 . -1 est la borne inférieure de l'ensemble A **** Minimum : ∀ n ∈ ℕ* , -1/n ≥ -1 . -1 est le Minimum de l'ensemble A **** Borne supérieure : ∀ n ∈ ℕ* , -1/n ≤ 0 . 0 est la borne supérieure de l'ensemble A **** Maximum : L'ensemble A n'as pas de maximum *** Ensemble B : B = [-1 , 3[ ∩ ℚ **** Borne inférieure : Inf (B) = Max(inf ([-1 , 3[) , inf (ℚ)) Puisse que ℚ n'as pas de Borne inférieure, donc par convention c'est *-∞*, *Inf (B) = -1* **** Borne supérieure : Sup(B) = Min(sup([-1 ,3[) , sup(ℚ)) Puisse que ℚ n'as pas de Borne supérieure, donc par convention c'est *+∞*, *Sup(B) = 3* **** Minimum : *Min(B) = -1* **** Maximum : L'ensemble B n'as pas de Maximum *** Ensemble C : C = {3n ,n ∈ ℕ} **** Borne inférieure : Inf (C) = 0 **** Borne supérieure : Sup(C) = +∞ **** Minimum : Min(C) = 0 **** Maximum : L'ensemble C n'as pas de Maximum *** Ensemble D : D = {1 - 1/n , n ∈ ℕ*} **** Borne inférieure : Inf (D)= 0 **** Borne supérieure : Sup(D)= 1 **** Minimum : Min(D)= 0 **** Maximum : L'ensemble D n'as pas de Maximum *** Ensemble E : E = { [2n + (-1)^n]/ n + 1 , n ∈ ℕ } *Les valeurs que E peut prendre sont : "(2n + 1)/(n+1)" Si n est pair, et "(2n - 1)/(n+1)" si n est impair* *On définit un ensemble F et G : F = { (2n + 1)/ (n+1) , n ∈ 2k}, G = { (2n - 1)/(n+1), n ∈ 2k+1}* *Donc E = F ∪ G* **** Borne inférieure : Inf (E) = Min(inf (F), inf (G)) Inf (F) = 1 ; Inf (G) = -1 *Inf (E)= -1* **** Borne supérieure : Sup(E) = Max(sup(F), sup(G)) sup(F) = +∞ ; sup(G) = +∞ *Sup(E)= +∞* **** Minimum : Min(E)= -1 **** Maximum : E n'as pas de maximum ** Exo 2 : *** Ensemble A : A = {x ∈ ℝ , 0 < x <√3} **** Borné *Oui*, Inf (A)= 0 ; Sup(A)=√3 *** Ensemble B : B = { x ∈ ℝ , 1/2 < sin x <√3/2} ; **** Borné *∀ x ∈ B, sin x > 1/2 ∴ Inf (B)= 1/2* *∀ x ∈ B, sin x < √3/2 ∴ Sup(B)= √3/2* *** Ensemble C : C = {x ∈ ℝ , x³ > 3} **** Minoré *∀ x ∈ C, x³ > 3 ∴ Inf (C)= 3* *** Ensemble D : D = {x ∈ ℝ , e^x < 1/2} **** Borné *∀ x ∈ C, e^x > 0 ∴ Inf (C)= 0* *∀ x ∈ C, e^x < 1/2 ∴ Sup(C)= 1/2* *** Ensemble E : E = {x ∈ ℝ , ∃ p ∈ ℕ* : x = √2/p} **** Majoré p = √2/x . Donc : *Sup(E)=1* ** Exo 3 : U0 = 3/2 ; U(n+1) = (Un - 1)² + 1 *** Question 1 : Montrer que : ∀ n ∈ ℕ , 1 < Un < 2 . *(Un - 1)² ≥ 0 /Parce que c'est un carré/* *(Un - 1)² + 1 > 1* ; *U(n+1) ≥ 1* **** Raisonnement par récurrence : P(n) : ∀ n ∈ ℕ ; 1 < Un < 2 P(0) est vraie : 1 < 3/2 < 2 On suppose que P(n) est vraie et on vérifie P(n+1) pour une contradiction 1< Un < 2 ; 0 < Un - 1 < 1 ; 0 < (Un - 1)² < 1 ; 1 < (Un - 1)² + 1< 2 ; *1 < U(n+1) < 2* Donc elle est correcte *** Question 2 : Montrer que (Un)n est strictement monotone : *U(n+1) - Un = (Un - 1)² + 1 - Un* ; *U(n+1) - Un = Un² + 1 - 2Un + 1 - Un* ; *U(n+1) - Un = Un² - 3Un + 2* On étudie *Un² - 3Un + 2* sur l'intervalle ]1, 2[ : Un² - 3Un + 2 = 0 est une équation du 2nd ordre, *Δ = 1* , elle accepte deux solutions : Un = 1 et Un = 2 On déduit que *Un² - 3Un + 2* est négatif sur [1 , 2] et positif en dehors, donc *∀ 1 < Un < 2 , Un² - 3Un + 2 < 0* ; *∀ 1 < Un < 2 , U(n+1) - Un < 0* ; *∀ 1 < Un < 2 , U(n+1) < Un* Donc (Un)n est une suite strictement monotonne décroissante * 4th cours (Suite) : /Oct 10/ ** Les suites convergentes Soit (Un)n est une suite convergente si lim Un n--> +∞ = l *** Remarque : 1. Un est une suite convergente alors Un est bornee 2. Un est une suite convergente lim Un n---> +∞ = l ⇔ lim |Un| n---> +∞ = |l| 3. Un est une suite majoree et croissante ⇒ Un converge 4. Un est une suite minoree et decroissante ⇒ Un converge 5. Soient (Un) et (Vn) deux suites convergentes, alors a. Un + Vn est convergente b. Un * Vn est convergente c. ∀λ ∈ ℝ , (λUn) converge 6. Soit Un est une suite bornee et soit Vn une suite. lim Vn n->+∞ = 0 Alors lim Vn * Un n-> +∞ = 0 ** Theoreme d'encadrement Soient Un Vn et Wn trois suites ∀n ∈ ℕ, Un ≤ Vn ≤ Wn . et lim Un n->∞ = lim Wn n-> +∞ = l ⇒ lim Vn n-> +∞ = l ** Suites arithmetiques Un est une suite arithmetique si : U(n+1) = Un + r ; r etant la raison de la suite *** Forme general *Un = U0 + nr* ; *Un = Up + (n - p)r* *** Somme des n premiers termes Un est une suite arithmetique, Sn = [(U0 + Un)(n + 1)]/2 Sn = (n, k = 0)ΣUk est une somme partielle et lim Sn n->+∞ = k≥0ΣUk est une serie ** Suites géométriques *** Forme general *Un = U0 x r^n* *** Somme des n premiers termes n ∈ ℕ\{1} Sn = U0 (1 - r^(n+1))/1-r * 5th cours (suite) : /Oct 12/ ** Suites adjacentes: Soient (Un) et (Vn) deux suites, elles sont adjacentes si: 1. (Un) est croissante et (Vn) est décroissante 2. Un ≤ Vn 3. lim (Un - Vn) n->+∞ = 0 ** Suites extraites (sous-suites): Soit (Un) une suite: ;U: ℕ ----> ℝ ; n ----> Un ;ϕ: ℕ ----> ℕ ; n ----> ϕn ;(U(ϕ(n))) est appelée une sous suite de (Un) ou bien une suite extraite. *** Remarques: a. Si (Un) converge ⇒ ∀ n ∈ ℕ , U(ϕ(n)) converge aussi. b. Mais le contraire n'es pas toujours vrais. c. U(2n) et U(2n+1) convergent vers la même limite (l), alors Un aussi converge vers l ** Suites de Cauchy: (Un) n ∈ ℕ est une suite de Cauchy Si ; ;∀ ε > 0 , ∃ N ∈ ℕ ; ∀ n > m > N ; |Un - Um| < ε *** Remarque : 1. Toute suite convergente est une suite de Cauchy et toute suite Cauchy est une suite convergente ** Théorème de Bolzano Weirstrass: On peut extraire une sous suite convergente de toute suite bornée * Chapitre 3 : Les limites et la continuité /Nov 14/ ** Fonction réelle à variable réelle : Soit f : I --> ℝ , I ⊂= ℝ x --> f (x) *** L'ensemble de départ : L'ensemble de définition (Df) **** Propriétés: Soit f et g deux fonctions : f : I --> ℝ x --> f (x) g : I --> ℝ x --> g(x) ***** 1) f+g (g+f): I --> ℝ x --> (f+g)(x) = f (x) + g(x) ***** 2) λf ∀λ ∈ ℝ : λf : I --> ℝ x --> (λf)(x) = λf (x) ***** 3) f*g (f*g): I --> ℝ x --> (f*g)(x) = f (x) x g(x) ***** 4) f/g f/g : I --> ℝ x --> f (x)/g(x) , g(x) ≠ 0 *** Les Limites : f : I --> ℝ x --> f (x) x_{0} ∈ I ; x_{0} extrémité de l'intervalle. Lim_{x --> x_{0}} f (x) est a Limite de f (x) quand x tend vers x_{0} **** Lim_{x --> x_{0}} f (x) = l => |x - x_{0}| < ẟ , |f (x) - l| < ε *** La continuité : Soit f : I --> ℝ I = Df x --> f (x) x_{0} ∈ I f est continue en x_{0} ⇔ Lim_{x --> x_{0}} f (x) = f (x_{0}) ∀ε > 0 , ∃ẟ > 0 , |x - x_{0}| < ẟ ⇒ |f (x) - f (x_{0})| < ε *** Prolongement par continuité : Soit f : I/ {x_{0}} --> ℝ x --> f (x) Si lim_{x --> x_{0}} f (x) = l Alors f est prolongéable par continuité en x_{0} On défini : f~ = f (x) si x ≠ x_{0} ET l si x = x_{0} f~ : I --> ℝ x --> f (x) *** Théorème des valeurs intermédiaires : f : [a,b] --> ℝ Si f est continue sur [a,b] Alors ∀y ∈ f ([a,b]) ⇒ ∃x ∈ [a,b] ; y = f (x) 1. Si f est continue sur [a,b] 2. Si f (a) * f (b) < 0 Donc ∃ c ∈ ]a,b[ , f (c) = 0 *** Fonction croissante : f : I --> J f est croissante si ∀ x_{1},x_{2} ∈ I x_{1} < x_{2} ⇒ f (x_{1}) ≤ f (x_{2}) f est strictement croissante si ∀ x_{1},x_{2} ∈ I x_{1} < x_{2} ⇒ f (x_{1}) < f (x_{2}) Si f est croissante ou décroissante, alors elle est bornée. *** Injection = Strictement monotonne : f : I --> J f est injective si ∀ x_{1},x_{2} ∈ I , f (x_{1}) = f (x_{2}) ⇒ x_{1} = x_{2} *** Surjection = Continuité : f est surjective si ∀ y ∈ J, ∃ x ∈ I , y = f (x) *** Bijection : Si f est injective et surjective, alors f est bijective f est bijective donc elle admet une bijection réciproque *** Théorème de bijection : Si f est continue et strictement monotone alors elle est bijective. f admet une bijection réciproque f{-1}. f{-1} a le même sens de variation que f.